Juste après sa mise en place, le groupe de six formations politiques dénomme « groupe des six » a pris son bâton de pèlerin pour discuter avec les forces vives tant nationales qu’internationales. Le tout-dernier acte posé est la rencontre qu’il a eue avec une représentation de la CEDEAO. Mais, rien de tout cela n’est une innovation, selon Jean-Pierre FABRE.
Intervenant ce jeudi soir sur la TV5 Monde, le président de l’ANC, parti membre du Cap 2015 voit mal qu’on dise le groupe des six est en mouvement alors que Cap 2015 n’en fait rien.
«Nous le faisions avant eux.
Moi je suis dans un regroupement appelé Cap 2015 et bien tout ce dont vous venez de me parler, nous le faisions avant eux », a répondu M. Fabre à son interlocutrice, quand elle énumère quelques-unes des actions menées sur le terrain par le groupe des six.
Pour Jean-Pierre Fabre, le Cap 2015 est plus actif qu’on ne le pense. En exemple, il souligne la dernière rencontre que ce groupe des six a eue avec le Cap 2015.
Rencontre sanctionnée par « un document qui fait la synthèse des points de convergence que nous avons signé », a-t-il fait savoir.
Donc, à tous ceux qui crient depuis un bon moment que le chef de file de l’opposition est dans une inertie, Jean-Pierre Fabre dit ne rien savoir de ce dont ils parlent. Selon lui, « ceux qui disent ou qui critiquent mon inertie, d’abord ils ne me voient pas, ensuite je ne sais pas ce dont ils parlent ».
Les réformes constitutionnelles et institutionnelles sont les principales préoccupations de la plupart des formations politiques ces derniers temps.
D’aucunes pensent que c’est par le dialogue qu’on y parviendra alors pour d’autres c’est par un référendum.
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