Il existe plusieurs mécanismes de protection des droits de la femme sur le contient et la commission nationale des droits de l’homme tient à les vulgariser.
La Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) a organisé une rencontre d’échanges le 31 mars dernier sur ces mécanismes dans le cadre de la journée internationale de la Femme pour sensibiliser et informer mais amener les acteurs à s’approprier le protocole de Maputo et la déclaration d’Abidjan sur l’apatridie.
Le protocole de Maputo proscrit les inégalités sociales, les discriminations sexuelles spécifiques dont font l’objet des femmes. Il met aussi l’accent sur l’importance de s’assurer que chaque enfant acquiert une nationalité à la naissance et exige que tous les enfants trouvés soient considérés comme nationaux de l’Etat dans lequel ils sont recueillis. Ce protocole prône également le droit à l’alimentation, à la santé, à l’éducation, à la dignité et à la paix.
La déclaration d’Abidjan de 2015 sur l’éradication de l’apatridie se concentre sur le besoin d’assurer aux hommes et aux femmes des droits égaux pour acquérir, changer ou conserver leur nationalité ou transmettre leur nationalité à leurs enfants.... suite de l'article sur Autre presse