C’est une tradition que lors de la célébration de la fête des travailleurs, le 1er mai, les employés remettent leurs doléances à leur employeur. Mais à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), c’est l’exception.
Bien que les travailleurs de la Caisse nationale de la sécurité sociale aient des exigences pour améliorer leurs conditions de vie et de travail, ils n’en parlent que hors des regards indiscrets.
C’est pourquoi à la fête du 1er mai, le Syndicat national des travailleurs de la sécurité sociale (SYNTRASSTO) ne les égrène pas, préférant le faire sans tambour ni trompette. En clair, le linge sale se lave en famille, dit-on.
« Depuis un certain nombre d’années, le SYNTRASSTO ne présente pas de cahier de doléances en public », a déclaré Ahlonko Diogo, Secrétaire général adjoint de ce syndicat. ... suite de l'article sur Autre presse