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Sexualité : Le «stealthing», expérience sexuelle décevante ou violence sexuelle?
Publié le mardi 2 mai 2017  |  Le Temps




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Il fait de plus en plus parler. Le «stealthing» (en français, «furtivité»), une pratique sexuelle fait l’objet d’une étude par une juriste. Polémique.

Le stealthing consiste pour l’homme à retirer son préservatif lors d’un rapport sexuel sans prévenir sa ou son partenaire. L’enquête autour de la question est publiée il y a quelques jours dans le Columbia Journal of Gender and Law.

A l’origine de cette étude, Alexandra Brodsky, juriste au National Women’s Law Center. Elle a commencé à s’intéresser au phénomène il y a quatre ans, alors qu’elle était étudiante en fac de droit, après avoir appris que de telles pratiques se déroulaient sur son campus.

Des craintes de grossesses et de maladies

Fondée notamment sur des témoignages, l’étude montre que si les expériences vécues sont diverses, des points communs demeurent entre les victimes. En particulier la crainte de «grossesses non désirées et de maladies sexuellement transmissibles».

Ensuite, «elles et ils ont fait l’expérience d’une violation claire de leur autonomie corporelle et de la confiance placée, à tort, dans leur partenaire », affirme l’étude. Pourtant, la plupart des victimes du «stealthing» peineraient à se reconnaître comme telles.

Une pratique parfois encouragée sur Internet

L’auteure souhaite d’ailleurs qu’une nouvelle régulation soit mise en place aux Etats-Unis pour que ces pratiques puissent être répertoriées au rang des violences sexuelles, au lieu d’évoquer simplement « une expérience sexuelle décevante ».
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