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Le mécontentement des surveillants de l’administration pénitentiaire fait réagir Kokouvi Agbétomey
Publié le vendredi 5 mai 2017  |  Global Actu


© aLome.com par Parfait
Séance de questions orales autour du drame de WACEM, à Tabligbo
Lomé, le 22 octobre 2015. Parlement. Les ministres Bawara et Bidamon, épaulés par leur collègue Pius Agbetomey ont répondu à la question suivante de Jean Kissi : «Dans quelles conditions le drame de WACEM s’est-il produit, les mesures d’aide aux victimes, des éclaircissements sur le type de contrats liant l’Etat togolais et les industries minières… ».


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Depuis mercredi, les surveillants de l’administration pénitentiaire, ce corps qui intervient en matière de bonne administration de la justice et de traitement digne des détenus dans les maisons d’arrêt, observent un mouvement de mécontentement de trois (3) jours.

Depuis mercredi, ces agents mécontents qui réclament des primes ou du moins un statut particulier, font dans le service minimum en facilitant les visites aux détenus et procédant aux déferrements et à la surveillance.

Si rien n’est fait après les premières 72 heures de leur mouvement de grève, menacent-ils, les visites et les déferrements à la prison seront bloqués par la suite.

A la fin de la deuxième journée de débrayage ce jeudi, le ministre de la justice, Pius Kokouvi Agbétomey a réagi à travers des émissaires. Les problèmes soulevés par les grévistes seront pris en compte à travers la tenue prochaine d’un dialogue inclusif et participatif. C’est ce qu’a appris Global Actu ce vendredi de RFI.

Cette annonce saura-t-elle apaiser cette grogne de ce corps dont les premiers agents ont été recrutés en 2010 ? C’est la deuxième fois qu’on entend parler d’eux par rapport à leur situation. En 2013, ils étaient au front pour exiger leur prise de fonction, presque trois (3) ans après leur recrutement.

Recrutés dans le cadre du programme national de modernisation de la justice, les surveillants de l’administration pénitentiaire, fonctionnaires de l’Etat en uniforme, sont chargés d’assurer la prise en charge des personnes à eux confiées par les autorités judiciaires, d’en assurer la garde et de participer à la mission de réinsertion.
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