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Amnesty International cible 21 pays africains dont le Togo
Publié le mardi 16 mai 2017  |  Global Actu


© aLome.com par Parfait
Pius Agbetomey, Ministre de la Justice et des Relations avec les Institutions de la République dans le Gouvernement Klassou I
Lomé, le 29 juin 2015. Parlement du Togo. Le Gouvernement Klassou I en scelle.


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Amnesty International vient de publier un nouveau rapport sur 21 pays d’Afrique de l’Ouest et Centrale dans lequel l’organisation fait savoir que durant les trois dernières années, plus de 271 personnes sont mortes lors des manifestations pacifiques. Ce qui équivaut à un mort tous les cinq (5) jours.

Selon François Patuel, Chercheur sur l’Afrique de l’ouest à Amnesty International intervenant ce mardi sur RFI, mourir lors des manifestations pacifiques sur les rues est devenu tellement fréquent dans ces pays qu’on n’en parle presque plus et les gens ont peur finalement de revendiquer leurs droits dans la rue.

«Nous pensons au Nigeria où il y a eu 150 militants pro-Biafra qui ont été tués entre 2015 et 2016, lors des manifestations pacifiques. C’est quelque chose qui est tellement commun que finalement on n’en parle plus. Il y a des morts lors des manifestations au Togo ou en Guinée. Il y en a eu encore ce week-end en Côte d’Ivoire lors des manifestations contre la mutinerie », a-t-il expliqué.

Dans son rapport, Amnesty International fait savoir que les autorités dans le monde, y compris en Afrique, mettent en œuvre un arsenal d’outils « de plus en plus évolués et étendus » pour réprimer les défenseurs des droits de l’homme, à côté des tactiques classiques de répression, notamment les assassinats.

Au nombre de ces nouveaux outils utilisés pour identifier, traquer et réprimer les défenseurs des droits de l’homme, l’organisation pointe du doigt l’utilisation des nouvelles technologies et des réseaux sociaux, formidable outil d’expression et de dénonciation des violations des droits humains.
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