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’Une bataille entre le bien et le mal’
Publié le lundi 22 mai 2017  |  Republicoftogo


© Autre presse par Présidence ivoirienne
Sommet islamique arabo-américain sur la sécurité internationale et le terrorisme en présence de F. Gnassingbé
Riyad, le 21 mai 2017. Faure Gnassingbé représente le Togo (membre de l`OCI) au Sommet islamique arabo-américain sur la sécurité internationale et le terrorisme. Un rendez-vous international au cours duquel le Président togolais a opéré des contacts bilatéraux et multilatéraux.


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Le président américain Donald Trump a appelé dimanche les pays musulmans à lutter avec détermination contre ‘l'extrémisme islamiste’, voyant dans la lutte contre le terrorisme une bataille entre "le bien et le mal".

Dans un discours très attendu prononcé à Ryad devant les représentants d'une cinquantaine de pays musulmans, M. Trump s'en est violemment pris à l'Iran accusé de ‘soutenir le terrorisme’.

Se disant porteur d'un message ‘d'amitié, d'espoir et d'amour’ du peuple américain, il a souligné la symbolique de son déplacement -son premier en tant que président- ‘au coeur du monde musulman’.

M. trump a longuement insisté sur le fait que ce combat n'est pas ‘une bataille entre religions’.

‘C'est une bataille entre des criminels barbares qui essaient d'anéantir la vie humaine et des gens bien de toutes religions qui cherchent à la protéger’, a-t-il lancé.

'C'est une bataille entre le bien et le mal', a-t-il martelé.

Le président américain, dont le pays combat sans relâche depuis 2014 le groupe jihadiste Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak, a aussi insisté sur la nécessité pour les Etats du Proche-Orient et du Golfe de jouer un rôle plus actif dans la lutte antiterroriste.

Il a appelé les dirigeants musulmans à ‘faire face à la crise de l'extrémisme islamiste’.

‘Les leaders religieux doivent le dire avec une très grande clarté (...) Si vous choisissez la voie du terrorisme, votre vie sera vide, votre vie sera brève", a-t-il ajouté.

Exhortant les dirigeants musulmans à n'offrir aucun ‘refuge’ aux terroristes, à les "chasser" de leurs communautés et de leurs lieux de culte, il a dit: "C'est un choix que l'Amérique ne peut faire pour vous".

'Nous ne sommes pas ici pour donner des leçons, nous ne sommes pas ici pour dire aux autres comment vivre', a-t-il affirmé.

Mais M. Trump, qui a annoncé dimanche une conférence de presse d'ici deux semaines pour expliquer sa stratégie de lutte contre l'EI, a aussi lancé un appel clair aux pays de la région à prendre leur pleine part dans le combat contre le terrorisme.

‘L'Amérique est prête à être à vos côtés (...) mais les pays du Proche-orient ne peuvent attendre que la puissance américaine écrase l'ennemi pour eux (...) Ils doivent décider de l'avenir qu'ils veulent pour eux-mêmes, leurs pays, leurs enfants’.


‘Le terrorisme s'est répandu à travers le monde. Mais le chemin vers la paix commence ici, sur cette terre ancienne, cette terre sacrée", où se trouvent des lieux saints de l’islam (La Mecque et Médine), a-t-il encore dit.

Sur l'Iran, pays avec lequel les Etats-Unis sont en brouille depuis plusieurs décennies, M. Trump a dénoncé un pays ‘responsable de tant d'instabilité dans la région’.

‘En attendant que le régime iranien montre sa volonté d'être un partenaire dans la paix, toutes les nations (...) doivent travailler ensemble pour l'isoler’, a-t-il dit, en accusant le régime iranien d'attiser ‘les feux du conflit confessionnel et du terrorisme’.

Quelques minutes avant lui, le roi Salmane d'Arabie saoudite, royaume sunnite, s'était livré à une attaque en règle contre l'Iran qu'il a qualifié de ‘fer de lance du terrorisme mondial’.

Le président américain a multiplié dimanche les rencontres avec des dirigeants de la région, dont ceux des monarchies du Golfe et son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi.

Plusieurs dirigeants africains ont assisté à ce sommet arabo-américain parmi lesquels Faure Gnassingbé, le président du Togo.

Un pays qui fait preuve d’une extrême fermeté face au terrorisme. Un pays qui entretien également de bonnes relations avec les monarchies du Golfe, l’Iran et Israël.

Une diplomatie équilibrée saluée par de nombreux participants à la rencontre de Ryad.

... suite de l'article sur Autre presse


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