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Agbohgate/Du bonheur de mentir et de son utilité/M. Jean-Paul AGBOH baigne dans la fiente nauséabonde du mensonge
Publié le lundi 29 mai 2017  |  Le Combat du Peuple


© aLome.com par Lakente Bankhead
Journées portes ouvertes de l`ensemble de la presse togolaise pour faire découvrir autrement le monde médiatique togolais.
Lomé, Espace Agora Senghor, du 16 au 20 décembre 2014, sous l`impulsion du CONAPP, les principaux acteurs des médias togolais se laissent découvrir par le grand public.


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Nous annonçons la couleur. Nous y sommes et nous promettons que la suite sera palpitante.

M. Jean-Paul AGBOH, puisque c’est bien de lui qu’il s’agit, a publié sur les réseaux sociaux et dans son canard, FOCUS INFO, une panoplie effrayante de mensonges pour discréditer et traîner dans la boue M. Lucien MESSAN, Directeur Général du Combat du Peuple SARL. Ce pamphlet rédigé dans un charabia raffiné et dans un français approximatif par ce jeune énergumène qui ignore tout du journalisme, n’est pas un chef d’œuvre. Loin s’en faut. L’auteur y confond, sans le savoir, l’assise et la marche. Il est donc une menace réelle pour la profession.

Nous nous sommes d’abord posé une question après avoir lu avec ahurissement et commisération les écrits orduriers et outranciers de ce jeune impertinent qui croit utopiquement qu’en mentant effrontément sur le compte d’un aîné, de la génération de son père, il va refaire le monde à son image, une terne image.

Malheureusement pour lui, il est venu trop tard dans un monde trop vieux. Nous allons bientôt en faire la démonstration parce que si la presse est ce qu’elle est au Togo, c’est grâce à des hommes qui ont accepté, à un moment donné, de mourir pour la liberté et qui ont fait face.

Mais avant, nous voulons ouvrir une parenthèse pour préciser que nous connaissons très bien son géniteur, M. AGBOH Ahouélété, ex-agent de santé, qui était en fonction à la Polyclinique de Lomé dans les années 70. Il était, à l’époque, secrétaire de la cellule N° 23 du RPT à Lomé et tout le monde connait ses faits d’armes. M. AGBOH Ahouélété n’a laissé pour la postérité qu’un souvenir négatif dont sa progéniture a hérité.


Si Jean-Paul savait en quelles circonstances nous avons connu son père lorsqu’il se rendait à la Direction de l’Enseignement du Premier Dégré où M. MESSAN exerçait comme secrétaire particulier de M. Michel AGBETIAFA, alors Directeur de l’Enseignement, il n’oserait pas prendre le risque de propager des mensonges sur un homme qu’il ne connait même pas. Pour clore ce chapitre, nous sommes fondés de dire : tel père, tel fils. Parce que la méchanceté et le mensonge sont le lot commun du père et du fils.

Mais, étant donné que nous sommes sur le terrain du journalisme, revenons à nos moutons pour faire la preuve de ce qui va suivre. Lorsqu’un soi-disant journaliste s’ingénie à écrire un article sur un confrère ainé, lauréat de plusieurs prix en journalisme, sur une base totalement imaginaire, en inventant de toutes pièces et sans aucun scrupule, de fausses informations, dans le but évident de fragiliser, déstabiliser, nuire et détruire ledit confrère qui a lutté pendant des décennies pour que la liberté de la presse soit une réalité au Togo, nous sommes en droit de dire que ces genres de déprédations et de brigandages intellectuels vont créer un gouffre effroyable où la presse togolaise risque de s’engloutir. Nous nous dirigeons imparablement vers la déchéance de la presse au Togo si nous ne prenons garde.

Nous avons consenti trop de sacrifices dans ce combat pour accepter aujourd’hui de subir stoïquement ce genre d’affront de la part d’un jeune écervelé, mal éduqué, abruti par ses ambitions démesurées, son égo surdimensionné et incapable de voir plus loin que le bout de son nez. Nous avons connu dans la corporation au Togo un bijoutier et un jardinier devenus Directeurs de Publication. Cela n’a suscité aucune contestation. Personne n’a cherché à les tourner en dérision.

S’il subsistait en nous un quelconque doute en ce qui concerne la compétence professionnelle intrinsèque de Jean-Paul AGBOH, ce doute est désormais définitivement balayé. Oui ! Jean-Paul AGBOH n’est pas un journaliste.


C’est un business man doublé d’un imposteur qui est arrivé à la profession par intrusion, à travers une fenêtre, après avoir commis un acte de spoliation et d’ingratitude envers M. AGBOATI son bienfaiteur qui lui a créé Focus Info originellement journal gratuit. Cet usurpateur ne se soucie guère de l’exercice honnête du métier. Sa première préoccupation, c’est de s’enrichir sur le dos de ses confrères puisque son canard ne se vend même pas.

A preuve, aucun journaliste togolais n’a fait autant de réalisations en un laps de temps si court pour un parcours aussi lamentable. Un journaliste digne de ce nom doit nécessairement et absolument faire preuve d’honnêteté intellectuelle et de rigueur professionnelle et ne doit, en aucun cas, user d’une écriture empoisonnée pour démolir des confrères. Un journaliste doit avoir un cœur pur. Autrement, il risque d’incarner les médias de la haine et de faire du tort à la corporation.

Mais, étant donné qu’ici-bas, chaque enfant doit apprendre qu’à force de s’amuser avec le feu, on se brûle les doigts, nous allons administrer la preuve des mensonges du sieur Jean-Paul AGBOH pour permettre à l’opinion nationale et internationale de se faire une religion.

L’article de M. AGBOH porte le titre : « DE PLANTON A DIRECTEUR DE PUBLICATION ». Il aurait pu écrire : « DU PLANTON AU DIRECTEUR DE PUBLICATION ». Cela ne ferait-il pas plus simple ? A ce sujet, il faut noter que M. MESSAN n’a jamais été planton.


C’est donc le mensonge N°1. 2e mensonge, il a parlé de « dénonciation du contrat de presse ». Nous insistons qu’il n’y a jamais eu contrat de presse entre la CEET et des journaux. Nous allons publier en fac similé ci-après, le protocole d’accord hybride qu’ils ont cosigné ensemble, M. Norbert BARA qui n’est même pas de la corporation et lui-même. On se demande ce que ce dernier venait chercher dans cette galère. 3e mensonge : il a soutenu qu’aucun critère ne confère le statut de doyen de la corporation à M. MESSAN. Il a oublié le critère d’âge qui est incontestable.


MESSAN Lucien n’a jamais travaillé dans le cabinet d’un Ministre de l’Education Nationale. A l’époque où celui-ci exerçait à la Direction de l’Enseignement du Premier Degré sous M. Michel AGBETIAFA, M. Benoît MALOU était Ministre de l’Education Nationale et il n’avait directement rien à voir avec le Ministre. En outre, pour sa gouverne, M. AGBOH doit savoir que les épreuves d’examen ne sont jamais accessibles au niveau supérieur. Elles sont toujours conservées sous clé dans un coffre-fort. Donc, c’est son 4e mensonge.

Pour situer nos lecteurs, M. MESSAN Lucien n’a jamais été arrêté et condamné à la Direction de l’Enseignement. Cette initiative de dénigrement a été le fait de l’ancien Ministre de l’Intérieur, le Gal. WALLA, qui, après avoir injustement embastillé M. MESSAN, un journaliste qui dérangeait, avait voulu l’achever en organisant une conférence de presse pour le disqualifier au moment où sa victime était derrière les barreaux et du coup, justifier sa propre forfaiture. Le Gal. WALLA avait menti et M. AGBOH lui sert aujourd’hui délibérément de relais (5e mensonge).

AGBOH accuse M. MESSAN d’avoir fait imprimer parallèlement et en catimini des exemplaires de journaux chez un confrère devenu homme politique. Il s’agit donc de son 6e mensonge puisque M. Fulbert ATTISSO dont il est question est bien vivant. Il peut témoigner, si c’est nécessaire, devant le Tribunal contre une diffamation aussi monstrueuse. M. MESSAN a quitté l’Eveil du Peuple de son propre chef et en accord avec M. ATTISSO puisqu’il a démissionné et non licencié. M. AGBOH accuse, par ailleurs, M. MESSAN d’avoir fait enterrer des micro-cercueils contenant des exemplaires du journal de son ex-patron.

Il faut vraiment avoir l’imagination trop fertile et tordue pour débiter, dans un article, de telles insanités. Qui plus est, qu’est devenu le journal créé par celui qui tenait avec brio la rédaction du Combat du Peuple ? Nous sommes donc au 6e mensonge.


MESSAN a été arbitrairement jeté en prison par le Général WALLA qui avait voulu mettre le Combat du Peuple sous éteignoir. Arrêté, jugé et condamné à 18 mois d’emprisonnement, le Président EYADEMA s’est finalement rendu compte que M. MESSAN a été injustement condamné et que sa détention était abusive. Il avait donc envoyé un émissaire en prison pour lui demander de lui adresser une demande de grâce. Ce que M. MESSAN n’a pas accepté de faire de gaieté de cœur.


La première version de la demande de grâce rejetée se trouve dans un dossier chez son Avocat, Me Adama Ruben DOE-BRUCE. Egalement, M. Guy Mario ABALO, ancien correspondant de RFI, peut porter témoignage sur ce douloureux épisode qu’il avait suivi (7e mensonge).


Dans un tout autre registre, les maisons bâties par M. MESSAN sont bel et bien là. Tous ceux qui ont mis les pieds dans ces maisons en connaissent les contours. M. MESSAN ne s’est jamais vanté d’avoir construit des châteaux. C’est les visiteurs qui le disent et ils le disent à l’aune de ce qu’ils ont vu. Il aurait suffi que M. AGBOH, s’il est vraiment journaliste, vérifie ce fait pour se rendre à l’évidence, avant de débiter ses calomnies.

C’est le moins qu’on puisse attendre d’un journaliste. Le meilleur démenti des mensonges de Jean-Paul AGBOH sont les maisons de M. MESSAN. Ceux qui ont visité lesdites maisons sont nombreux. La liste serait trop longue à établir. Nous en faisons donc l’économie. Il suffit de visiter ces immeubles pour comprendre que le jeune AGBOH a atteint le fond de la perversion. Nous sommes ainsi arrivés au 8e mensonge et nous n’en avons pas encore fini. C’est triste de vivre de telles dérives faites d’affabulations et de délires. M. AGBOH baigne dans la fiente nauséabonde du mensonge. C’est regrettable pour quelqu’un qui aime tant faire la grosse tête.

Quant aux costumes et chaussures de M. MESSAN dont il a parlé, nous nous connaissons tous dans la corporation. Chacun sait ce que l’autre porte. Sans commentaire. Il est cependant important de souligner que M. MESSAN a commencé à porter ses premiers costumes depuis 1966, année où il était Secrétaire à la Direction Générale du Travail, de la Main d’œuvre et de la Sécurité Sociale à Nouakchott en Mauritanie. Les photos qui en font foi sont là et des témoins sont vivants. Sûrement qu’en 1966, Jean-Paul AGBOH n’était pas encore né. De quoi se mêle-t-il donc ?

Pour terminer, nous nous répétons volontiers que nous allons publier en fac-similé le protocole d’accord hybride signé par le sieur AGBOH et Norbert BARA avec la CEET.

Avec nos commentaires critiques bien évidement.

Il va sans dire que nous reviendrons à la charge pour apporter d’autres clarifications puisque AGBOHGATE ne fait que commencer. Jean- Paul ignore que nous en avons vu d’autres et que nous ne nous laisserons pas abattre face aux mensonges.

AGBOH déclare, à ceux qui veulent l’entendre, le bonheur de mentir puisqu’il en savoure l’utilité en accusant, en dernier ressort, M. MESSAN de l’avoir toujours attaqué. Ce qui est faux, archifaux. Avec Jean Paul AGBOH, le lecteur est entrainé dans une excursion aussi drôle que savante au pays du mensonge. On y croise le 1er, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e, 8e, 9e, 10e, 11e et le 12e mensonge de l’auteur. A la fin, c’est fastidieux qu’on puisse relever un nombre aussi impressionnant de mensonges dans un article. C’est du n’importe quoi.


AGBOH confond illusion et mensonge, mais puisqu’on admire souvent les menteurs professionnels qui savent donner le vertige en manipulant des mots et des histoires, il se prend pour un héros et cherche à abattre celui qui incarne le diable à ses yeux. Qu’elle importance au fond qu’il n’y ait peut-être pas un mot de vrai dans chacun de ces récits, du moment que Jean Paul AGBOH se souvient à chaque page qu’un mensonge digne de ce nom est d’abord une œuvre d’art ?



En définitive, le caractère diffamatoire, mensonger et méchant de l’article est établi d’autant plus que toute la vie de M. MESSAN ne trouve aucune grâce aux yeux de Jean-Paul. Il a même poussé l’outrecuidance jusqu’à dédier une épitaphe injurieuse à mettre sur la tombe M. MESSAN lorsque celui-ci ne sera plus de ce monde. Quel toupet ! Il lui reste, à lui, à vivre assez longtemps pour faire la comparaison entre sa vie et celle de sa cible d’aujourd’hui.



Rodrigue
... suite de l'article sur Le Combat du Peuple


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