Économie
L’Afrique subsaharienne est la région la plus touchée par la baisse des investissements (Banque mondiale)
Publié le lundi 5 juin 2017 | Agence Ecofin
|
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Makhtar Diop, Vice-président de la Banque mondiale pour l`Afrique, pose la 1ère pierre pour la construction du bâtiment et des laboratoires spécialisés du CERSA Lomé, le 06 avril 2017. Université de Lomé, CERSA (Centre régional d`excellence sur les sciences aviaires). Makhtar Diop, Vice-président de la Banque mondiale pour l`Afrique, conclut une visite de travail de 24h au Togo en touchant du doigt le fonctionnement quotidien du CERSA. L`ouverture de ce Centre a été financé par la Banque mondiale dans le cadre du "Projet des centres d`excellence africains qui soutient l`enseignement des sciences et technologies dans les Universités en Afrique occidentale et centrale via 22 sous-projets.
Au CERSA, Makhtar Diop a aussi procédé à la pose de la 1ère pierre pour la construction du bâtiment et des laboratoires spécialisés de ce Centre régional, en compagnie du ministre Broohm (de l`Enseignement supérieur du Togo), de Jacob Kokou Tona (Directeur du CERSA) et du Président de l`UL, Pr Kokoroko. |
Vos outils
Vidéos

- 2/6/2017
Dans le dossier
|
Selon la Banque mondiale, les perspectives de croissance à long terme des économies en développement sont compromises par le ralentissement des investissements, dû en partie à la reprise fragile de l'économie mondiale.
Parmi les régions les plus touchées par la tendance à faible investissement, l'Afrique subsaharienne où les récentes mauvaises performances des principales économies exportatrices de matières premières, comme le Nigeria, l'Afrique du Sud et l’Angola ont freiné les efforts visant à réduire la pauvreté.
Dans sa dernière édition des Perspectives économiques mondiales, la Banque a souligné une tendance corrosive à long terme. L’institution financière explique que le ralentissement de l'investissement dans les économies en développement a freiné la croissance de la productivité.
Lors d’une interview, Paul Romer, économiste en chef de la Banque mondiale, a déclaré que l'effet à long terme du faible niveau des investissements dans ces économies, est l'un des principaux défis auxquels l'économie mondiale est confrontée aujourd'hui.
... suite de l'article sur Autre presse
Commentaires