Suivi de la situation des droits de l’Homme : Des personnalités de la société civile s’organisent en une plateforme dénommée «PANEL WATCH»
. Voir la photo
|
Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années.
N. Lawson, leader de la STT.. Voir la photo
|
Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années.. Voir la photo
|
Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années.. Voir la photo
|
Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années.. Voir la photo
|
Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années.. Voir la photo
|
Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années.. Voir la photo
|
Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années.. Voir la photo
|
Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !» Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG).
Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable.. Voir la photo
|
Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire.. Voir la photo
|
Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire.. Voir la photo
|
Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire.. Voir la photo
|
Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire.. Voir la photo
|
Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire.. Voir la photo
|
Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire.. Voir la photo
|
AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités.
Nadou Lawson-Olokounlé, SG de la STT.. Voir la photo
|
AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités.
G. Tsolenyanu, membre du Bureau de la STT.. Voir la photo
|
AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités.
G. Tsolenyanu, membre du Bureau de la STT.. Voir la photo
|
AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités.. Voir la photo
|
AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités.. Voir la photo
|