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Suivi de la situation des droits de l’Homme : Des personnalités de la société civile s’organisent en une plateforme dénommée «PANEL WATCH»
Publié le 24 mai 2018 | Autre presse |  Photographe : Societe civile media | Photo N˚73027


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Suivi de la situation des droits de l’Homme : Des personnalités de la société civile s’organisent en une plateforme dénommée «PANEL WATCH»
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Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative
Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années. N. Lawson, leader de la STT..

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Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative
Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années..

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Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative
Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années..

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Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative
Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années..

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Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative
Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années..

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Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative
Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années..

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Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative
Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années..

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Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative
Lomé, le 1er mai 2018. Artères principales du centre-ville de la capitale togolaise. Marche silencieuse en noir de la STT à Lomé ce 1er mai pour défendre sa plate-forme revendicative. Cette mobilisation de cette Centrale est loin des géantes remobilisations dont elle a été l`objet ces dernières années..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Rencontre d’échanges entre Centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !»
Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Lomé, le 04 avril 2018. Hôtel Sancta Maria. Rencontre d’échanges entre centrales syndicales et collectifs des ONG sur fond des principes du mouvement «Do no harm !». En vue de réfléchir sur les différents modèles de revendications sociales, le mouvement «Do no harm» a organisé une table ronde qui a réuni des responsables syndicaux et ceux des organisations non-gouvernementales (ONG). Ces acteurs sont appelés à échanger sur ce qui se fait ailleurs et ici en matière de revendications sociales. Selon le 1er responsable du mouvement «Do no harm», Gabriel BATAWILA, il est possible de «revendiquer en faisant moins mal». Ce mouvement s’inscrit dans une philosophie de culture du meilleur vivre ensemble et d’une paix durable..

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Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire
Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire..

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Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire
Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire..

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Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire..

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Lomé, le 03 avril 2018. Maison de la Santé. Conférence de presse du Front citoyen "Togo Debout" et annonce de plusieurs actions de mobilisation populaire..

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AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale
Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités. Nadou Lawson-Olokounlé, SG de la STT..

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AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale
Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités. G. Tsolenyanu, membre du Bureau de la STT..

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AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale
Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités. G. Tsolenyanu, membre du Bureau de la STT..

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AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale
Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités..

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Lomé, le 30 mars 2018. Centre communautaire de Tokoin. AG de la STT pour repenser la lutte de la défense des droits des travailleurs togolais, en pleine crise sociale dans plusieurs secteurs d`activités..

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