Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
class=logo ACTUALITÉS PHOTOS
Comment

Accueil
News
Photos
Société
Photo


 Dans le dossier



Comment


 Dans la presse écrite

Société

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Publié le 19 mai 2020 | aLome.com |  Photographe : Edem Gadegbeku & J. Tchakou | Photo N˚87772


Photo précédente  Photo suivante


Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme. Emmanuel Sogadji



 Qui est sur la photo ?


 Autres photos
Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme. Emmanuel Sogadji.

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme. Emmanuel Sogadji.

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme. Kao Atcholi de l`ASVITTO..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme. Kao Atcholi de l`ASVITTO..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme. Kao Atcholi de l`ASVITTO..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme. Kao Atcholi de l`ASVITTO..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme. Kao Atcholi de l`ASVITTO..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme..

Voir la photo

Bavures policières pendant l`état d`urgence sanitaire et mort tragique de Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme
Lomé, le 07 mai 2020. Siège du SYNPHOT à Avénou. Bavures policières pendant le couvre-feu de l`état d`urgence sanitaire et mort tragique du Colonel Madjoulba: la LTDH et l`ASVITTO tirent la sonnette d’alarme..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo

Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU
Lomé, le 19 mai 2020. Marché de Hedzranawoé. Les gestes-barrières disparaissent dans les habitudes de beaucoup de Loméens dès la fermeture des principaux marchés de la ville à partir de 16HTU, à cause du coronavirus. Un comportement qui vient se greffer au relâchement criard de plus en plus perceptible dans le Grand Lomé autour de l`observation des mesures-barrières, au grand dam du personnel soignant et des autorités togolaises..

Voir la photo